VOCATIO est très heureuse de pouvoir compter McKinsey parmi ses nouveaux sponsors. Yves Slachmuylders, associé dans le bureau bruxellois de McKinsey, nous explique ce qui le fascine tant chez VOCATIO.
Pourriez-vous vous présenter en quelques mots?
Je m’appelle Yves Slachmuylders et je suis associé dans le bureau bruxellois de McKinsey. Cela fait 14 ans que j’y travaille et je suis actif dans le domaine de l’organisation d’entreprise et du développement des talents.
Pourquoi McKinsey a choisi de soutenir VOCATIO ?
J’ai connu VOCATIO grâce à l’un de ses administrateurs. Chez McKinsey, nous avons tout de suite été fascinés par la philosophie qui sous-tend ce projet : donner aux personnes qui ont une vocation la possibilité de la suivre et de se développer. Nous savons que pour de nombreux jeunes, il est tout sauf évident de continuer à se former ou de changer de cap et de choisir une autre voie. Nous trouvons cela fantastique que VOCATIO puisse leur offre cette opportunité !
En tant qu’entreprise, McKinsey s’est fortement engagée à développer les talents et les compétences de tous ses employés – c’est dans notre ADN. Nous leur offrons la possibilité de développer au maximum leurs propres compétences. C’est pourquoi nous étions enthousiastes à l’idée de travailler avec VOCATIO. C’est formidable de voir comment cette initiative soutient le développement des compétences.
L’entrepreneuriat est également quelque chose qui nous est très cher et que nous essayons de stimuler chez nos propres employés. L’entrepreneuriat caractérise aussi les lauréats de VOCATIO. Le projet de Carlos (le lauréat soutenu par McKinsey cette année, ndlr) est un exemple parfait de nos points de convergence avec VOCATIO. Non seulement Carlos fait preuve d’un énorme dynamisme entrepreneurial, mais son projet porte également sur la durabilité, l’un des thèmes majeurs sur lesquels McKinsey travaille dans le monde entier. Avec les entreprises et les gouvernements, nous essayons d’élaborer des feuilles de route pour rendre l’économie plus durable. Raison de plus pour que nous soutenions Carlos dans sa démarche.
Comment voyez-vous l’avenir entre VOCATIO et McKinsey ?
Outre le soutien financier, nous aimerions également explorer d’autres formes de soutien. Par exemple, nous avons beaucoup d’expérience dans le secteur non-marchand, dans la manière d’améliorer les formations et dans la manière de soutenir l’entrepreneuriat. Je pense que nous pourrions jouer un rôle en aidant à développer une initiative comme VOCATIO.
Que souhaitez-vous aux lauréats et, en général, aux jeunes qui ont une vocation dans cette période difficile ?
Tout d’abord, je leur souhaite une bonne santé. C’est ce qui est le plus important dans cette crise sanitaire… En outre, je souhaite à tous les lauréats la persévérance nécessaire pour continuer à poursuivre leurs objectifs même en ces temps difficiles. Aussi éprouvant que soit le contexte actuel, il offre également aux individus la possibilité de se réinventer.
J’espère aussi que les lauréats et les candidats pourront être de véritables ambassadeurs de VOCATIO et, à leur tour, inspirer les gens à trouver leur vocation et à s’y consacrer pleinement. VOCATIO a déjà soutenu de nombreux lauréats, mais je pense que l’impact de VOCATIO devrait pouvoir aller au-delà du soutien aux jeunes qui soumettent un dossier. Je pense que VOCATIO et tous les lauréats ont un rôle important à jouer pour diffuser plus largement l’importance de développer sa passion et ses compétences, et l’impact qu’on peut avoir sur la société.
Photo: Amélie de Wilde